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🖥️ La relation d’une génération avec le travail

Mon post

Et vous quel est votre point de vue ?

💈Cette jeune femme expose son découragement à se lancer dans la vie active pour plein de raisons logiques.

J’ai commenté son post fin avril. 🧲 Et 🍾Surprise ! Sur Instagram ma réponse a obtenu sans m’en apercevoir 1259 likes (au 16 juillet) en 3 mois. Ma réponse avait été des plus spontanées.

😘😘Je m’attendais pas du tout à tant de retours et de questions comme si :

1- la façon de travailler des générations d’avant celle actuelle des 20- 26 ans environ leur parait complètement inconnue, comme cet appareil photo 📸

2- la façon dont nous avions de travailler : ils l’envient ! Comme ce téléphone à touches☎️

Voici ce que j’avais commenté :

sou3dia.76, sohel_hal et 1259 autres personnes ont aimé votre commentaire :

« Parce que ça c’est dégradé depuis les années Thatcher. Avant ça t’avais tu bossais pour un actionnaire prioritaire que tu connaissais. Depuis tu bosses pour les actionnaires financiers. Il y a 30 ans ton boss et ton équipe étaient physiquement à côté de toi. Les amis c’était ceux du travail. L ambiance était comme familiale. Les fumeurs fumaient devant toi et on plaisantait de tout et de rien. On fêtait les naissances les anniversaires. On rentrait chez soi après 18 h et personne je dis bien personne ne cherchait à te joindre pour le boulot après cette heure là. Une vraie vie pour soi. Tout comme entre 12 h 30 et 14 h. Pas de téléphone ds la poche qui sonnait. Ça attendait ton retour au bureau. Y avait un message ds ta banette pour rappeler un client d’ici demain. Au fait à midi on buvait du vin, 1 à 2 verres. Maintenant c’est tout robotisé. Interdit. Les relations n’existent plus. On ne peut plus rire de tout et de rien. C’est devenu interdit. Il faut montrer une fausse tolérance. Les collègues ? C’est des fonctions. Des gens qui se connaissent même plus. Des visios sans échanges presque inhumaines. Des réunions en anglais avec tes collègues de Roumanie Bulgarie Dubai que tu as jamais vus. Tu déjeunes un sandwich bobo au chai mais seul avec tes ipods. Après 18 h tu bosses chez toi avec avec tes ipods. Après 18 h tu bosses chez toi avec tes mails ton teams et tes iPhone. Tu ne prends pas de distance réelle. Le cerveau continue de bosser h24. Si tu ne réponds pas dans l’instant tu n’es pas professionnel. Alors oui nos parents restaient 25 ans (disons au moins 10 ans) ds une memes boîte car les conditions de vie étaient humaines ».

Patrick Krzyzosiak

Coach habilité et supervisé membre de l’EMCC

https://www.instagram.com/reel/CrqikInO_Kf/?igshid=MzRlODBiNWFlZA==

Analyse transactionnelle et jeux nocifs

Quand on me sollicite sur le sujet de la cohésion d’équipe, de la collaboration, de « faire tomber l’esprit de silos », du « mieux travailler ensemble », je répond toujours en développant beaucoup le sujet des jeux psychologiques et du triangle dramatique en analyse transactionnelle

Nos vies sont remplies de jeux psychologiques. En effet, pour quel « appât » n’allons nous pas être vrai ?

La prise d’un nouveau poste ? La gestion de carrière ? Vouloir apparaître comme une personne « cool ?

et même avec la boulangerie habituelle du coin, nous allons jouer à la personne intéressée par le devenir du chat (qui ne nous intéresse pas) pour espérer obtenir la dernière baguette la mieux cuite…

Mais nos jeux de non dits, ne sont pas conscients. Même la notion d’appât n’est pas claire. On l’ignore.

Entre les non-dits (qu’on appelle les jeux psychologiques) et ce qui nous motive à ne pas dire (l’appât), il y a un coût : pour soi, pour son image, pour ce qu’on donne à voir aux autres, et pour le collectif.

Les non-dits amènent à des interprétations qui si elles ne sont pas clarifiées se transformeront en tensions, puis en conflits (3 rôles à leur extrême : persécuteur, sauveur, victime)

Les jeux psychologiques sont la cause des troubles psychologiques, de l’usure de la confiance, et surtout de l’inefficacité au travail, et enfin, de la montée en en avant des IRP sur tous les sujets.

Etes vous prêt à faire évoluer les choses ?

J’ai eu ces retours récents de plusieurs équipes sur plusieurs sites logistiques où j’interviens en même temps pour accompagner des groupes de managers :

« Ces jeux créent des sortes de « zones d’inconfort confortables » parce qu’on s’y est habitué »

« Quand on ne sait pas, n’ose pas, ne veut pas vraiment exprimer ce qu’on a à dire, que cela va jusqu’à cacher son malaise, le coût devient trop important (fatigue, troubles physiques, somatisation, troubles du sommeil)

« On a des retards sur chaine car entre collègues on fait payer nos frustrations en accusant le service d’à côté »

« Mes colères, mes tensions, ma dureté avec les autres proviennent des non-dits »

« Mais on peine à quitter ces jeux nocifs car on préfère le diable que l’on connaît à celui qu’on ne connait pas ».

« Oui, mais » est tout un symbole. J’ai compris que c’est le premier signe de « je ne t’écoute pas », qui est entendu comme un « je ne compte pas pour lui puisqu’il me dit Oui, mais »

Bonne réception et à bientôt,

Les besoins relationnels selon Richard G. Erskine, Psychotérapeute et psychanalyste italien, formateur de coachs et consultant en entreprise.

Manager est un métier, celui de valoriser « oui, mais bon, ça on sait ! »

Il y a plein de trucs et astuces pour y arriver à valoriser. Dans les trousses des formateurs et coachs, il y a les strokes, les feed back, la CNV, l’écoute active, les team building, j’en passe et des meilleurs.

Mais entre ceux qui en ont marre de se restreindre et de ne pas être eux-mêmes pour rester bienveillant, qui sont dans le doute quand l’équipe n’a pas atteint l’objectif ou qu’il faut recadrer, et ceux qui pensent que trop d’empathie distrait les équipes, et qu’il vaut mieux diriger que de distribuer des bons points, où est le bon sens dans tout ça ?

C’est où le juste milieu ?

Idée  Voilà une boussole en 8 points qui va vous donner un peu plus de raison et de sens à « valoriser » et… ça parle de vous, de moi, des autres. De tout le monde.

J’aime beaucoup l’approche des « 8 besoins relationnels » de Richard G. Erskine, Psychotérapeute et psychanalyste italien, formateur de coachs et consultant en entreprise.

Les 8 besoins relationnels sont les composants d’un désir humain universel de relations. Lorsque les besoins relationnels ne sont pas satisfaits, le besoin devient plus intense : nervosité. frustration, agression, colère.

Les 8 principaux besoins relationnels que nous observons sont les besoins de :

1. Sécurité 

2. Validation, affirmation et signification au sein d’une relation

3. Acceptation par une personne stable, fiable et protectrice

4. Confirmation de l’expérience personnelle

5. La définition de soi

6. Le besoin d’avoir un impact sur l’autre

7. Le besoin que l’autre prenne l’initiative 

8. Le besoin d’exprimer l’amour 

Bien qu’il puisse exister un grand nombre de besoins relationnels, les huit besoins que nous décrivons dans cet article représentent ceux que nos clients décrivent le plus fréquemment lorsqu’ils évoquent leurs relations importantes. 

 Les besoins relationnels ne sont pas seulement des besoins d’enfance ou des besoins qui émergent selon une hiérarchie ; ils constituent les composants de la relation, présents chaque jour de nos vies.

Lorsque ceux-ci ne sont pas satisfaits, le besoin devient plus intense, il est vécu comme une attente, un vide, une solitude énervante, ou une impulsion intense, ce qui s’accompagne souvent de nervosité. L’absence continue de satisfaction des besoins relationnels peut se manifester sous la forme de la frustration, l’agression ou la colère.

Le manque de satisfaction du besoin se manifeste par une perte d’énergie ou d’espoir, et apparaît dans des pensées telles que «  Il n’y a personne pour moi » ou «  à quoi bon ». 

Voici un peu plus de détails sur les 8 besoins.

1. Sécurité :

C’est une expérience viscérale et unique que nous vivons quand nos vulnérabilités physiques et émotionnelles sont protégées.

2. Validation, affirmation et signification au sein d’une relation :

C’est le besoin que l’autre personne « valide » nos processus de pensée  ( on est d’accord !) d’après notre ressenti affectif, nos émotions et le sens qu’à la vie pour nous.

3. Acceptation par une personne stable, fiable et protectrice :

C’est le besoin de respecter et de se fier à des parents, frères et sœurs plus âgés, professeurs et mentors. Le besoin relationnel d’être accepté par une tierce personne cohérente, sérieuse et digne de confiance est la quête de protection et de guidance, et peut se manifester sous la forme d’une idéalisation de l’autre.

4. Confirmation de l’expérience personnelle :

Le besoin de recevoir une confirmation de l’expérience de notre vie, de nos valeurs, idées et pensées, action, qui se manifeste à travers le désir d’être en présence de quelqu’un qui est similaire, qui va comprendre du fait qu’il/elle a eu semblable expérience, et dont l’expérience, partagée, va avoir valeur de confirmation.

5. La définition de soi :

C’est le besoin relationnel consistant à connaître et à exprimer le fait que nous sommes uniques et à recevoir la reconnaissance et l’acceptation de cela, par l’autre. La définition de soi est la communication de l’identité choisie par nous-mêmes, au travers de l’expression de préférences, centres d’intérêts et idées, sans humiliation ni rejet.

6. Le besoin d’avoir un impact sur l’autre :

L’impact étant ici : exercer une l’influence qui affecte l’autre d’une manière désirée. Un sentiment individuel de compétence dans la relation émerge de l’action et de l’efficacité – à savoir, attirer l’attention et l’intérêt de l’autre, exercer une influence sur ce qui peut intéresser l’autre, et amener l’autre à un changement d’affect ou de comportement.

7. Le besoin que l’autre prenne l’initiative :

Pour répondre au besoin du collaborateur, il peut s’avérer nécessaire que le manager prenne l’initiative du dialogue, qu’il quitte son siège et vienne s’asseoir près de lui, ou qu’il lui téléphone entre les rendez-vous officiels qu’ils ont dans l’agenda. La volonté du manager de prendre l’initiative du contact ou de prendre la responsabilité de la plus grande part du travail relationnel sera perçu par le collaborateur comme un acte inclusif, et comme une permission de prendre contact régulièrement avec son manager, même sur des sujets sensibles qu’il aurait eu tendance à arranger ou momentanément à éviter.

8. Le besoin d’exprimer l’amour :

L’amour est souvent exprimé au travers d’une gratitude paisible, d’une reconnaissance, par l’affection qu’on donne, ou par ce qu’on fait pour l’autre personne. L’importance du besoin relationnel consiste à donner de l’amour – que ce soit des enfants en direction des parents, frères et sœurs, professeurs, –  Quand l’expression de l’amour est dans une impasse, l’expression de soi-même-en-relation se trouve contrariée. 

En management, la pratique du stroke (signe de reconnaissance factuel ou sur l’être),  de l’encouragement, le fait de relever les réussites plutôt que les échecs, de pratiquer les feed-back plutôt que les reproches vient nourrir ce 8 -ème besoin et stimule le besoin numéro 5 qui est la définition du soi. 

Comme je le dis à mes clients, envoyer des signes de reconnaissance positifs aux autres nourrit l’autre, le stimule, le revigore, lui donne l’envie de se dépasser, de donner plus spontanément et d’oser dépasser le statut qui vous sépare.  

Mais avant toute chose, cela vous revient au centuple : ressentir que l’autre se sent bien nous apaise et nous revigore nous-même. En cela, ça participe à la construction de la confiance en soi. 

Les besoins relationnels selon Richard G. Erskine, Psychotérapeute et psychanalyste italien, formateur de coachs et consultant en entreprise.

Les besoins relationnels sont les composants d’un désir humain universel de relations.

Bien qu’il puisse exister un grand

nombre de besoins relationnels, les huit besoins que nous décrivons dans cet article représentent

ceux que nos clients décrivent le plus fréquemment lorsqu’ils évoquent leurs relations importantes.

Les besoins relationnels ne sont pas seulement des besoins d’enfance ou des besoins qui émergent

selon une hiérarchie développementale ; ils constituent les composants de la relation, présents

chaque jour de nos vies. Chacun des huit besoins relationnels est susceptible de se former ou de devenir conscient en tant qu’aspiration ou désir.

Lorsque ceux-ci ne sont pas satisfaits, le besoin devient plusintense, il est vécu phénoménologiquement comme une attente, du vide, une solitude énervante, ou une impulsion intense, ce qui s’accompagne souvent de nervosité. L’absence continue de satisfaction

des besoins relationnels peut se manifester sous la forme de la frustration, l’agression ou la colère.

le manque de satisfaction du besoin se

manifeste par une perte d’énergie ou d’espoir, et apparaît dans des croyances de Scénario telles que

« Il n’y a personne pour moi » ou « à quoi bon ».

Les huit principaux besoins relationnels que nous observons sont les besoins de :

1. Sécurité :

C’est une expérience viscérale et unique que nous vivons quand nos vulnérabilités physiques et émotionnelles sont protégées.

2. Validation, affirmation et signification au sein d’une relation :

C’est le besoin que l’autre personne « valide » nos processus de pensée ( on est d’accord !) d’après notre ressenti affectif, nos émotions et le sens qu’à la vie pour nous.

3. Acceptation par une personne stable, fiable et protectrice :

C’est le besoin de respecter et de se fier à des parents, frères et soeurs plus âgés, professeurs et mentors. Le besoin relationnel d’être accepté par une tierce personne cohérente, sérieuse et digne de

confiance est la quête de protection et de guidance, et peut se manifester sous la forme d’une idéalisation de l’autre.

4. Confirmation de l’expérience personnelle :

C’est le besoin de recevoir confirmation de l’expérience se manifeste à travers le désir d’être en présence de quelqu’un qui est similaire, qui va comprendre du fait qu’il/elle a eu semblable expérience, et dont l’expérience, partagée, va avoir valeur de confirmation.

5. La définition de soi :

C’est le besoin relationnel consistant à connaître et à exprimer le fait que nous sommes uniques et à recevoir la reconnaissance et l’acceptation de cela, par l’autre. La définition de soi est la

communication de l’identité choisie par nous-mêmes, au travers de l’expression de préférences, centres d’intérêts et idées, sans humiliation ni rejet

6. Le besoin d’avoir un impact sur l’autre :

L’impact étant ici : exercer une l’influence qui affecte l’autre d’une manière désirée. Un sentiment individuel de compétence dans la relation émerge de l’action et de l’efficacité – à savoir, attirer l’attention et l’intérêt de l’autre, exercer une influence sur ce qui peut intéresser l’autre, et amener l’autre à un changement d’affect ou de comportement.

7. Le besoin que l’autre prenne l’initiative :

Pour répondre au besoin du collaborateur, il peut s’avérer nécessaire que le manager prenne l’initiative du dialogue, qu’il quitte son siège et vienne s’asseoir près de lui, ou qu’il lui téléphone entre les

tendez-vous officiels qu’ils ont dans l’agenda. La volonté du manager de prendre l’initiative du contact ou de prendre la responsabilité de la plus grande part du travail relationnel sera perçu par le collaborateur comme un acte inclusif, et comme une permission de prendre contact régulièrement avec son manager, même sur des sujets sensibles qu’il aurait eu tendance à cacher.

8. Le besoin d’exprimer l’amour :

L’amour est souvent exprimé au travers d’une gratitude paisible, d’une reconnaissance, par l’affection qu’on donne, ou par ce qu’on fait pour l’autre personne. L’importance du besoin

relationnel consiste à donner de l’amour – que ce soit des enfants en direction des parents, frères et soeurs, professeurs, – Quand l’expression de l’amour est dans une impasse, l’expression de soi-même-en-relation se trouve contrariée. En management, la pratique du stroke, de l’encouragement, le fait de relever les réussites plutôt que les échecs, de pratiquer le feed-back plutôt que le reproche vient nourrir ce 8 ème besoin et stimule le besoin numéro cinq qui est la définition du soi.

Comme je le dis à mes clients, envoyer des signes de reconnaissance positifs aux autres nourrit bien sur l’autre, le stimule, le revigore, lui donne l’envie de se dépasser, de donner plus spontanément et d’oser dépasser un statut qui vous sépare. Mais avant toute chose, cela vous revient au centuple : ressentir que l’autre se sent bien nous apaise et nous revigore nous-mêmes. En cela, ça participe à la construction de la confiance en soi.

Patrick Krzyzosiak, 15 mars 2023 à Paris

Podcast Épisode 20 : L’inconfort du « leader inversé ». Comment se recentrer sur soi et rester celui qui galvanise

Sur spotify et Google podcast

Rien qu’au titre de ce podcast, « leader inversé » j’entends déjà des interrogations. Et des réactions inconfortables et étonnées à se recentrer sur soi et à galvaniser : « Patrick, je suis un leader parce que je veille à être au service de mon codir, et des missions régaliennes de mon entreprise, alors si vous me proposez de me recentrer sur moi, c’est revenir en arrière et c’est risqué de me replonger dans un attitude d’un manager directif qui ne pense qu’à lui et qui pour cela donne des ordres ! » … « A l’heure de la bienveillance en plus.. se recentrer sur soi et pas sur les autres ? ». « Quant à galvaniser, c’est facile à dire mais quand ils n’ont pas atteints leurs objectifs, vous faites quoi ? ». Et pourtant. Je vous l’ai dit que j’ai attendu avant de faire ce podcast. J’ai mis du temps pour me décider à faire ce podcast tellement ce sujet est devenu commun voire répétitif pour ne pas dire à la mode, mais il est parfois délicat à aborder avec des leaders surtout après que certains se soient même formés grâce aux meilleurs écoles. Je pense en France à l’insead et à l’Essec et d’autres qui ont une excellente qualité d’enseignement pour accroître son leadership. Ce podcast vaut ce qu’il vaut et il est basé sur mon expérience. Et pourtant j’ai bien 2 sujets qui sont devenus des piliers pour qu’un leader qu’on traduit en français par « meneur » puisse continuer d’exercer plus confortablement son rôle grâce à une attitude qui induit des engagements de son équipe de direction ou de votre équipe, que vous soyez CEO, CFO, ou DRH, dans tous las cas vous êtes en position de « leadership ». Depuis 2012 ou 2013 j’ai dépassé mon propre symptôme de l’imposteur pour coacher ces profils de dirigeants car il m’a fallu dépasser ma croyance qu’ils n’avaient pas besoin de mes services puisqu’ils géraient des activités bien plus importantes que les miennes ! Je vous parle dans ce podcast de ce nécessaire recentrage sur soi pour pouvoir enfin occuper « toute votre place » de leader et être vu comme ce leader et je vous parle de vos challenges dans vos interactions, en évoquant l’influence, ou le fait d’être sous influence, d’être en fait « dirigé » par ceux que vous devriez mener, mais cela c’est un sujet très délicat. Le coaching permet d’y aller doucement et interroge certains leaders sur le fait qu’ils se sont mis dans une prédisposition à servir plutôt que de mener. Les rôles se sont donc inversés au fur et à mesure des mois et des années. Et au final, ce sont ceux qui ont ce sentiment, cette sensation, pas si évidente à voir, de se faire mener par d’autres et de devoir se battre contre un agenda qui décale sans cesse leur projet stratégique et d’organisation. Et à être ainsi au service des autres on en devient aussi critique au lieu de révéler aux autres leurs talents. Je vous souhaite une écoute instructive et peut être étonnée.

Fait à Paris le 22 février 2023

Patrick Krzyzosiak

Coach habilité

Épisode 19 : « J’ai besoin de plus de toi ! », versus les reproches et les tensions

Dans ce podcast je témoigne d’une expérience délicate avec une équipe qui m’a demandé un coaching d’équipe de direction sur le thème de la cohésion. J’ai assisté au départ surprise d’un collaborateur à l’heure du déjeuner et pour une partie de l’après midi sans qu’il en ait clairement informé préalablement son DG ni moi. Et cela alors même que la thématique de la journée était plus de cohésion et d’inclusion entre eux avec au passage comment faire pour renforcer le sentiment d’appartenance. Nous avons vécu un moment difficile car l’attitude possible à son retour pour les autres personnes de ce CODIR aurait été de ne rien lui dire en en pensant pas moins, ou de lui reprocher son attitude qui se fait au détriment de l’équipe. Je les ai accompagnés en les aidant à faire un autre choix que le reproche et le règlement de comptes. Un choix qui contribue à plus d’équipe et pas à moins d’équipe. Un choix plus sain et aussi plus inclusif : en suivant la signification des émotions ressenties par les personnes présentes, la colère et la tristesse. La colère et la tristesse nous parlent pour nous dire que quelque chose se passe contre notre besoin de sentir que l’on compte, d’appartenir à un collectif, un groupe, une famille, une tribu. Être en colère vient questionner ce sentiment de ne pas avoir de rôle assez reconnu et qui met en doute notre besoin « d’appartenir et de compter dans un collectif ». La colère est un cri d’inclusion – On pourrait entendre : « J’ai besoin que tu me reconnaisses ». « j’ai besoin de sentir que je compte ». On trouve des Hommes en colère même haut placés. Doutent ils de leur sentiment de compter, au sens d’être compris, d’appartenir, d’être le dirigeant ? Or, dans cette journée avec cette équipe, en quittant la journée de manière inattendue, ce manager a laissé comme un sentiment d’abandon qui s’est traduit comme une perception de : « vous ne comptez pas pour moi ! ». La réaction des autres était naturelle : « Je suis donc en colère et je t’en veux ! ». Cela signifiait en fait « on est en colère et triste de ce qui se passe » car tu déconstruis l’équipe qui se forme et ça nous démotive si chacun fait ce qu’il veut sans tenir compte des autres. En fait leur colère et leur tristesse c’était un appel à « plus de lui ! ». « On te veut plus et pas moins, or tu es partis » ! « Tu nous as lâché » ! « On te veut plus » ! « Reviens ! ». Alors oui la réinclusion du manager s’est faite plus facilement. Cela a parlé non seulement à lui mais à tous. Cela nous met face à nos réactions habituelles d’exclure. Les lieux de travail sont remplis de contre exemples malheureux identiques. Par exemple : le travail n’a pas été fait en temps et en heure ? Cela me met en colère. « Il ne me reconnaît pas comme important puisque c’était important le travail à faire que je lui ai demandé et il ne l’a pas fait ». Alors on se met en colère. On recadre. On fait des reproches. On met le doigt sur les manques. Et c’est le début des surtensions. Je vous invite plutôt, si la personne est compétente, à écouter ce qu’elle a à dire sur la signification de ne pas avoir fait le travail dans les temps. Bien sûr elle vous dira qu’elle a plein de travail et qu’elle est débordée mais peut être que de votre côté vous ne lui avez pas montré l’importance qu’elle recherche pour faire ce travail. Lui avez vous donné du temps lorsque vous lui avez donné ce travail à faire ? Avez vous imposé un mode de travail sans l’écouter ? Avez vous été laxiste à ne pas lui donner toutes les informations nécessaires ? Avez vous été suffisamment clair ? Avez vous mis la pression sur le résultat sans entendre son besoin ? Que se passerait il si nous disions à celui qui n’a pas fait le travail que son travail vous manque et que vous aimeriez savoir ce qui aurait permis qu’il se fasse ? Vous verrez que la réponse habituelle « je suis débordé » ne sera plus le principal sujet. Bonne écoute de ce podcast

Le 1 % du colibri

Je vous propose dans ce contexte d’actualité pas très réjouissant un exercice en coaching à partir de ce que vous inspire cette photo (bien sur vous pouvez réagir et m’écrire si le coeur vous en dit). Il est simple car spontané mais il a tellement d’impacts sur nous même. Pour ceux qui voudront tenter l’exercice, voila comment ça se passe. 

J’appelle cet exercice le « 1% » du colibri   

On peut faire le choix de se concentrer sur le 1% des qualités d’une personne. De voir la petite part de bonté qu’elle a alors qu’elle n’apparaît pas au grand jour et que nous sommes en colère contre elle. Pensez qu’il y a des gens très durs qui ont pu adopter un animal de compagnie, donner de l’argent à une association caritative ou qui s’occupent d’un de ses parents. 

Pensez aussi à l’inverse : une personne très empathique a aussi un côté moins lumineux. Notre cerveau fonctionne ainsi par auto suggestion : plus on observera l’autre dans ses aspects positifs, plus il y a des chances que ça devienne la réalité. 

Parce que le cerveau a ce fonctionnement d’auto suggestion. Les parents le savent : observer son enfant jouer en lui disant qu’il va réussir à monter le mur va lui donner l’énergie de le faire sans tomber. Lui envoyer des doutes va amplifier sa gêne et il va peut être tomber et même se faire mal. Le mental ne suffit pas. Ce serait trop simple. C’est la conviction que son enfant réussira à grimper le mur qui fait qu’il ressentira notre confiance. La conviction, c’est comme ressentir par avance ce que l’on est entrain de s’imaginer. S’en nourrir.

Alors sur quoi focalisons nous notre attention ? Et en sommes nous conscients ? Ce n’est pas toujours le cas. 

Oui c’est un effort à fournir de trouver chez chacun ce 1 % de beau et d’y croire mais c’est aussi le cas de tout le monde ; 

On peut réussir une belle journée ou la rater totalement en se focalisant juste sur ce qu’on n’aime pas en nous ou chez les autres ( nos proches, nos collègues, les sujets d’actualité).

Quelle part allons nous nourrir chaque jour, à chaque pas, avec nous, avec autrui ? Pensez au colibri qui vient apporter une goutte d’eau alors qu’un feu s’est déclaré. Il contribue. Nous sommes sans doute tous des colibris, dont le travail commun éteint l’incendie.  

Patrick Krzyzosiak

Coach habilité

23 10 2022

Quand tu réchauffes le cœur des autres, alors tu te réchauffes. »

« Quand tu réchauffes le cœur des autres, alors tu te réchauffes. » 🙏💖💗💓🧡💛

*** Angel, un juif, propriétaire de la boulangerie la plus célèbre d’Allemagne, disait souvent :
« Savez-vous pourquoi je suis en vie aujourd’hui ?
J’étais encore adolescent quand les nazis en Allemagne tuaient des juifs, sans pitié.
Les nazis nous ont emmenés à Auschwitz en train.
La dernière nuit était mortelle.
Nous avons été laissés pendant de nombreux jours dans des voitures sans nourriture, sans lits, ce qui veut dire sans possibilité de se réchauffer d’une façon ou d’une autre.
Il neigeait partout. Le vent froid nous gelait les joues à chaque seconde.
Nous étions des centaines dans ces nuits froides et horribles.
Pas de nourriture, pas d’eau, pas de cache.
Le sang est gelé dans les veines.
À côté de moi se trouvait un juif âgé qui était très aimé dans ma ville. Il tremblait et avait l’air terrifié. Je l’ai enveloppé avec mes mains pour le réchauffer. Je l’ai serré fort dans mes bras pour lui donner un peu de chaleur. Je lui ai frotté les mains, les jambes, le visage, le cou. Je l’ai supplié de rester en vie. Je lui ai remonté le moral. C’est ainsi que j’ai gardé cet homme au chaud toute la nuit. Moi-même j’étais fatigué et gelé mais j’ai continué à masser le corps de cet homme pour le réchauffer.
Tant d’heures sont passées.
Enfin le matin est venu, le soleil a commencé à briller.
J’ai regardé autour de moi pour voir d’autres personnes.
Quelle horreur, tout ce que je pouvais voir, c’étaient des cadavres gelés.
Tout ce que je pouvais entendre était le silence de la mort.
La nuit glacée a tué tout le monde.
Ils sont morts de froid.
Seules deux personnes ont survécu : le vieil homme et moi. Le vieil homme a survécu parce que je ne l’ai pas laissé geler, et j’ai survécu car je l’ai réchauffé.
Permettez-moi de vous dire le secret de la survie dans ce monde ? Quand tu réchauffes le cœur des autres, alors tu te réchauffes.
« Quand vous soutenez, renforcez et encouragez les autres, alors vous recevez du soutien, du renforcement et des encouragements dans votre vie. » ***

Patrick krzyzosiak

31 12 2021

via Gabby Seeger, Danny Kada et Sylvia Siarri

Se transformer soi-même transforme le monde… Pourquoi ? Tous « interconnectés »….

Savez-vous que le cœur émet un plus grand champ électromagnétique que tous les autres principaux organes du corps ?

La science aborde notre connexion au champ magnétique terrestre. Merci à Nikolaī Patrice Singier-Kurzawa.

Des scientifiques ont récemment tenté de mettre en lumière des concepts jusqu’ici difficilement abordables par la science matérialiste, comme par exemple ce que nous appelons « l’aura humaine ».

Le fait que nos corps émettent des champs électromagnétiques offre des indices sur la compréhension de notre propre biologie ainsi que sur le fait que nous soyons tous interconnectés.

Il est clairement démontré que le cœur émet un plus grand champ électromagnétique que tous les autres principaux organes du corps.

Ces champs et informations peuvent varier en fonction de notre état physique, de nos émotions et de nos pensées.

Grâce à un système de neutrons, le cœur envoie des signaux au cerveau au point de parvenir à affecter nos expériences émotionnelles.

L’information émotionnelle qui est modulée et codée dans ces champs modifie la nature de ces signaux susceptibles d’impacter notre environnement.

Tous interconnectés !

Rolin McCratey, professeur et directeur de recherche à l’Institut HeartMath, a déclaré : « Nous sommes fondamentalement et profondément liés les uns aux autres ainsi qu’à la planète. »

Il ajouté :

« Les résultats de certaines recherches, axées sur la cohérence cardiaque, ont démontré que nous éprouvons et transmettons de l’amour et de la compassion, et que notre cœur génère une onde électromagnétique cohérente au sein de notre environnement local. Ce qui peut faciliter notre cohésion sociale, que ce soit à la maison, au travail, en classe ou assis autour d’une table.

Lorsque plusieurs personnes se focalisent en même temps sur un événement grâce à leur cohérence cardiaque, alors cela construit un champ énergétique susceptible d’induire une forte influence sur l’événement en question. »

Le Dr Deborah Rozman, présidente de Quantum Intech, explique que « nous vivons une époque passionnante en ce qui concerne la science, et bien que peu souligné et étudié dans le courant scientifique actuel, la science semble tout de même de plus en plus reconnaître le fait que nous faisons tous partie d’une gigantesque toile interconnectée. Elle englobe non seulement la vie sur cette planète, mais aussi notre système solaire ainsi que tout ce qui se trouve au-delà. »

Cohérence cardiaque et pouvoir de suggestion

Le Dr Rozman a déclaré :

« Fondamentalement, les sentiments d’amour, de gratitude, d’appréciation ainsi que d’autres émotions positives produisent non seulement un effet sur notre système nerveux, mais aussi sur ceux qui nous entourent, et cela bien au-delà de ce que nous aurions pu penser auparavant. »

Des études ont été menées au sujet de la méditation de masse et de la prière.

En ce qui concerne leurs effets sur les systèmes physiques, on note que de nombreuses publications ont montré des résultats statistiquement significatifs.

Il existe une liste d’articles téléchargeables dont des extraits de revues évoquant ce type de phénomènes, principalement publiés au 21e siècle.

interconnexion humaine

Un autre point qui illustre l’importance de la cohérence cardiaque est le fait que plusieurs organismes du monde entier ont mené avec succès des méditations synchronisées, des prières et des expériences sur la force de suggestion.

Un certain nombre d’études ont montré que les méditations collectives, la prière ou l’intention dirigée (ou focalisée) avaient induit des résultats positifs avec des effets mesurables.

Par exemple, une étude a été réalisée au cours de la guerre entre Israël et le Liban dans les années 1980.

Deux professeurs de l’Université Harvard avaient mis en place des groupes de méditation expérimentés à Jérusalem, en Yougoslavie et aux États-Unis dans le but précis d’attirer l’attention sur cette zone de conflit à divers intervalles et sur une période de 27 mois.

Au cours de l’étude, les niveaux de violence au Liban avaient connu une diminution entre 40 et 80% à chaque fois qu’un groupe de méditation était en place. Le nombre moyen de personnes tuées pendant la guerre chaque jour était passé de douze à trois, et les blessures liées à la guerre avaient diminué de 70%.

Un autre bon exemple est l’étude menée en 1993 à Washington, DC qui a montré une baisse de 25% du taux de criminalité lorsque 2.500 personnes méditaient durant un laps de temps avec une intention précise.

Le Dr Rozman a affirmé :

« L’énergie de chaque individu affecte l’environnement et le champ collectif. Les émotions et les intentions de chaque personne génèrent une énergie qui affecte ce fameux champ… La première étape consiste à prendre individuellement conscience de nos propres énergies. Nous pouvons y parvenir en augmentant notre cohérence cardiaque et élever notre niveau vibratoire… »

interconnexion humaine

L’Initiative de cohérence globale (GCI)

Le GCI se décrit comment faisant partie d’un effort de coopération internationale dans le but d’inciter à activer le cœur de l’humanité et à faciliter un changement de conscience mondiale. L’un des axes principaux consiste à inviter des individus à y participer, en sollicitant leur amour, leur cohérence cardiaque et leur compassion dans le but d’influencer le champ planétaire.

Le second objectif est la recherche scientifique, notamment sur la manière dont nous sommes tous énergétiquement reliés les uns aux autres ainsi qu’à la planète. Puis de comprendre comment nous pouvons utiliser cette réelle interconnectivité et d’élever notre niveau vibratoire personnel afin de contribuer à créer un monde meilleur.

Les hypothèses et enjeux pour les chercheurs et les scientifiques concernant ce processus sont les suivants :

. Les champs magnétiques de la Terre sont des supports d’informations biologiquement pertinents qui relient tous les systèmes vivants entre eux.

. Chaque personne est susceptible d’affecter ce domaine d’information.

. Les personnes pouvant créer des états de cohérence cardiaques d’amour, de reconnaissance, de soins et de compassion peuvent générer dans leur environnement un champ électromagnétique profitable aux autres.

. Il existe une boucle de rétroaction entre les êtres humains et les systèmes énergétiques/magnétiques de la Terre.

. La Terre possède plusieurs sources de champs magnétiques qui impactent l’ensemble de l’humanité. Deux d’entre elles sont le champ géomagnétique qui émane du noyau de la Terre ainsi que les champs qui existent entre la Terre et l’ionosphère. Ces champs entourent la planète entière et agissent comme des boucliers de protection qui bloquent les effets nocifs du rayonnement solaire, les rayons cosmiques, de sable…

Sans ces champs magnétiques, la glace ne pourrait par exemple pas exister sur Terre. Cela fait partie de l’écosystème dynamique de notre planète.

Nous ne savons pas encore comment ces pensées, émotions et sentiments affectent la planète entière, ni comment ces informations et expériences codent les champs électromagnétiques.

Ces champs énergétiques sont connus des scientifiques, mais il existe encore de nombreuses inconnues. L’activité solaire et les bouleversements qui ont lieu sur les champs magnétiques de la Terre ont un impact sur la santé et le comportement des êtres vivants. Ceci est bien établi dans la littérature scientifique.

La littérature scientifique établit aussi fermement que plusieurs rythmes physiologiques et comportements collectifs mondiaux ne sont pas seulement synchronisés avec l’activité solaire et géomagnétique, mais que les perturbations dans ces domaines peuvent créer des effets néfastes sur la santé et le comportement humain. (Sources 1; 2)

« Lorsque l’environnement du champ magnétique de la Terre est bouleversé, il peut causer des problèmes de sommeil, de confusion mentale, de manque d’énergie… »

connexion champ magnétique terrestre

D’autre part, lorsque les champs terrestres sont stables, les gens signalent une augmentation des sentiments positifs et plus de créativité et d’inspiration. Ceci est probablement dû à un couplage entre le cerveau humain, cardiovasculaire et le système nerveux qui demeurent réceptifs aux fréquences de résonance géomagnétique.

La Terre et l’ionosphère génèrent des fréquences qui vont de 0,01 hertz à 300 hertz, dont certains restent dans la même gamme de fréquences que le cerveau, le système cardiovasculaire et le système nerveux autonome. Cela explique la manière dont les fluctuations des champs magnétiques de la Terre et du Soleil peuvent nous influencer. Ces changements peuvent aussi affecter les ondes cérébrales, les rythmes cardiaques, la mémoire, la performance athlétique, et la santé.

Intensité solaire et champs électromagnétiques

D’inquiétants effets ont été notés les lendemains d’intensité solaire dus aux champs électromagnétiques. Ils interféreraient négativement sur notre propre énergie corporelle dont les effets constatés sont les suivants :

. Augmentation considérable des accidents cardio-vasculaires.

. Conséquences sur les vaisseaux sanguins en provoquant la formation de caillots de sang pouvant obturer l’artère coronaire chez les personnes prédisposées.

. Désordres énergétiques constatés par des acuponcteurs.

. Recrudescence des maladies mentales, dépressions et des suicides du fait de perturbations du système nerveux.

. Phénomènes météorologiques violents.

Les champs magnétiques de la Terre agissent comme des ondes porteuses pour l’information qui influe sur tous les systèmes vivants ainsi que la conscience collective.

Nous ne sommes encore qu’au début de cette longue épopée.

Comment agir pour vous et pour les autres ?

Travaillez sur votre développement personnel et tout ce qui vous fait sentir bien : exercice physique, méditation, alimentation saine, passer du temps avec des amis, votre famille, ou les animaux…

Mettez l’accent sur vos intentions et restez à l’écoute de vos intuitions.

Il existe un certain nombre d’outils que vous pouvez utiliser, comme la méditation qui peut vous aider à être en paix avec vous-même et à garder le contrôle de vos émotions, à contribuer à protéger la planète à votre modeste niveau ainsi que les autres. Cela vous fait indéniablement du bien.

Patrick Krzyzosiak

Coach individuel et d’équipes

30 12 2021

Quid de la connexion champ magnétique terrestre:

Le champs magnétique de la terre constitue une sorte de bouclier qui entoure la terre et nous protège des rayons cosmiques

Quid de la coherence cardiaque :

La cohérence cardiaque permet d’apprendre à contrôler sa respiration afin de réguler son stress et son anxiété.