« Et maintenant ? Qu’allons nous faire … »

Seul l’AMOUR peut surpasser tout ce qu’on vit.Seules nos pensées et nos actes d’ AMOUR sont la pour nous accompagner et nous guider dans nos chemins.

Seul l’AMOUR peut nous guider quand les énergies de l’obscure nous entourent.

Seul l’AMOUR nous rend forts et immortels. Ok Oui oui …. Et Alors ? Et bien justement c’est le moment de ne pas abdiquer ces belles paroles face à la peur qui monte ! La peur est réactivée dans ses circonstances. Peur que ça nous tombe dessus. Peur de notre impuissance face à des événements extérieurs qui  » ont  » le dessus sur nous ! 

Or, ce n’est pas le cas et ce n’est JAMAIS le cas . Souvenons nous que le hasard n’a pas sa place dans nos vies, même en ses circonstances critiques. Au contraire c’est le moment maintenant de passer à la pratique de faire vivre en nous ce pouvoir de créer ce que nous voulons voir autour de nous.

Rien n’a de pouvoir sur nous que le pouvoir que l’on cède à autrui. 

C’est le moment pour habiter pleinement tout ce que je lis ici sur internet : que les pensées créent nos vies et notre quotidien.
J’adresse des pensées d’AMOUR pour tous ceux qui nous ont quitté suite à ces démonstrations de l’obscur qui nous habite.

Une pensée d’AMOUR pour les inconscients coupés de leur essence : L’AMOUR.

Alors répandons L’AMOUR partout.
De soi pour soi
De soi vers les autres meme ceux qui nous veulent du mal car ils sont cruellement en manque d’amour 

LA RELATION AUX AUTRES ET LA CONFIANCE EN SOI

10 Signes qui indiquent que notre égo nous contrôle, 10 signes de notre égo pour empêcher la relation avec les autres :

  1. Quand nous cherchons à avoir raison
  2. Quand nous bâtissons des scénarios dans notre tête
  3. Quand nous nous sentons attaqués, que nous sommes susceptibles
  1. Quand nous jugeons les autres ou nous mêmes
  2. Quand nous nous comparons en nous croyant supérieurs ou inférieurs
  3. Quand nous sommes en colère et que nous n’en sortons pas, que nous cultivons notre vengeance ou préparons notre réponse
  4. Quand nous ruminons le passé ou que nous anticipons l’avenir
  5. Quand nous nous sentons petits, tristes, angoissés, nerveux
  6. Quand nous avons peur de ne pas être à la hauteur
  7. Quand tout semble aller de travers et contre nos désirs

NOS COMPORTEMENTS DE NON DITS AU TRAVAIL : un effet miroir ?

Nos comportements « dire ou ne pas dire » sont plus souvent guidés par la peur de paraître incompétent, par la peur de mal faire, ou de décevoir…la liste est longue.

Pensez donc…si personne ne dit les choses, où va le monde (j’ai déjà entendu ça)

Sortir des non dits a plein d’avantages en comparaison aux inconvénients, outre celui de dépasser de vieilles croyances personnelles (qui nous pénalisent)  …lisez ceci…

  • Ne pas dire c’est remettre SON POUVOIR à un autre : en vous  mettant en position de ne pas dire,  vous êtes malheureusement le jouet de quelqu’un ( « objectalisation » dixit KG Jung)
  • Ne pas dire c’est cacher la réalité : ne pas tout dire, pour de bonnes raisons (il y en a toujours), pour protéger…correspond à déresponsabiliser l’autre et surtout, cela va entretenir ses « illusions » (par exemple, c’est au chef de « me prendre en charge », « c’est lui qui « me sauvera »)
  • Souhaiter que « les autres » soient responsables à votre place et se chargent de dire à votre place ce que vous pensez en votre for intérieur …n’est pas possible…il faudrait être grand clair pour deviner ce qui n’est pas dit et énoncé clairement par vous
  • Idem, si je réclame du temps à mon boss et que je m’en plaint, demandez vous d’abord si vous donnez assez de votre temps à vos collaborateurs ? je ne parle pas du temps qui passe sur votre montre, mais de la vraie écoute accordée aux autres (on croit qu’on écoute alors qu’on parle souvent à la place des autres et qu’on les empêche de donner leur avis)  : ceci équivaut exactement au fait de ne pas donner de temps aux collaborateurs.
  • En ne disant pas les choses..…nous allons jusqu’à nous manipuler nous même…Nous cachons (nous omettons, nous embellissons les situations, nous nous abstenons de dire, par peur…peur du jugement ? Conséquences ? des situations inconfortables qui nous mettent en position de « SAUVEUR » (le sauveur ne demande rien à personne et fait tout seul ou tout pour les autres). Chaque sauveur se plaint ensuite de ne pas avoir de reconnaissance…Souvent j’entends « tel boss ne me dit pas tout », « il ne m’écoute pas », « il me manipule pour arriver à ses fins ». Pour ne plus être manipulé (si c’est votre ressenti), acceptez de vous révéler à vous même et acceptez de vivre la vie que vous aimeriez avoir. On se manipule tous nous mêmes à accepter l’inacceptable …alors avant de trouver en l’autre un coupable facile, il vaut mieux vérifier en soi où nous en sommes de nos propres « manipulations » (contre nous mêmes; sous la forme de petits arrangements..et d’ailleurs, nous ne nous disons pas tout à haute voix…)
  • Quelqu’un d’important a dit dans le passé ; « qui es tu pour juger l’autre » ? je crois que je comprends..en effet, qui est-on pour dénoncer celui qui nous « ment » et nous « manipule »,  alors que, pour commencer, nous nous « mentons » tous les jours à nous même…nous nous manipulons nous mêmes. On « ne dit pas » alors qu’il faudrait certainement oser dire…on continue une relation alors qu’elle est terminée,  on accepte volontiers de payer très chère la place d’un match de foot et l’idée qu’un joueur de foot gagne 30 millions de dollars mais on dénonce les millions de tel PDG en partance…qui est on pour dénoncer alors que nos pratiques sont de la même « nature » que ce que nous dénonçons  ? « Cessons d’être gentils. Soyons VRAIS » (Merci Thierry d’Assembourg. Très bel ouvrage que je conseille)
  • Qui sommes nous pour « dire aux autres ce qu’ils devraient faire si nous mêmes nous ne nous appliquons pas cette règle ? (en tant que rédacteur, je me mets aussi dans la liste, dont worry..j’ai encore des parties sombres)
  • NE PAS SAVOIR DIRE NON C’EST NE PAS SE RESPECTER SOI MEME et comme conséquence, celle de rentrer dans une spirale ou vous ne serez « pas respecté » (ou du moins vos aurez cette impression d’être « utilisé par »)
  • Or, dire non c’est : préserver l’autre et parfois lui « sauver la vie »
  • Anticiper les demandes de ses collaborateurs, de sa hiérarchie c’est pro ..mais à force…c’est risqué…ils pourront en abuser.. et vous, vous finirez par vous en agacer et eux se retourner contre vous (réf : le triangle de S. Karpmann, triangle dramatique, ou cf. le joli film de gérard jugnot « Oui, mais « ),
  • Enfin, si vous persistez à ne pas savoir dire non, sachez que ça porte un nom : le « SAUVEUR » (réf : analyse transactionnelle). Il agit ainsi pour obtenir des signes de reconnaissance. Le besoin de  RECONNAISSANCE PERSONNELLE nous fait comettre des actes que nous pourrions regretter. Souvent, nous nous SUBSTITUONS à QUELQU’UN (qui a pourtant 2 jambes et 2 bras),  on fera à sa place…mais nous ne recevrons rien en retour. Enfin, « sauver l’autre » (faire à la place, en faire plus que de mesure)  c’est le « surprotéger » et donc lui cacher la réalité et lui enlever une chance de s’y mettre lui même.

Alors dire ou ne pas dire ? telle est la question. Ce que je voulais expliquer ici c’est qu’il vaut mieux se regarder soi même dans un miroir (preuve d’humilité) avant d’aller s’en prendre à quelqu’un. On parle bien « d’effet miroir »).

Ces quelques lignes ne sont pas une leçon de morale de ma part. Voyez cela comme de la bienveillance et un bon conseil qui  vous économiseront bien des souffrances morales au travail.

Démotiver ? Cest hyper rapide ! « L’impuissance apprise « 

Comment enseigner le découragement en 5 minutes
Je suis tombé sur une vidéo très intéressante qui tourne pas mal sur les réseaux sociaux ces derniers jours. On y voit Charisse Nixon, prof de psychologie à la Penn State Behrend (Pennsylvanie), proposer un exercice très simple à ses étudiants.

Chacun d’eux reçoit une feuille sur laquelle figurent trois mots et doit trouver une anagramme pour chaque mot. Dès qu’ils ont trouvé la première anagramme, les élèves doivent lever la main. Très rapidement, la moitié de la classe trouve, lève la main, laissant l’autre moitié perplexe. La prof demande de passer au deuxième mot, là aussi la moitié de la classe trouve très vite et lève la main, pendant que l’autre moitié est de plus en plus dépitée.

Tout l’intérêt de cette petite expérience réside dans le fait que le troisième mot est le même pour tout le monde. Pourtant, seuls les élèves qui avaient les anagrammes faciles trouvent l’anagramme, aucun élève à qui on avait donné deux premiers mots impossibles ne trouve le troisième.

« Repensez à ce qui ce passait en vous, à l’école  quand vous avez vu  » les meilleurs «  lever la main car ils avaient résolu un exercice et pas vous. Qu’avez-vous ressenti à ce moment-là ?

– Je me suis senti stupide.

– J’avais envie de partir.

– Je me sentais encore plus confus.

– Frustré…

– J’ai perdu confiance en moi.

En fait …vous venez de faire l’expérience de l’impuissance apprise, conclut C. Nixon.
« L’impuissance apprise ».
Ce que Charisse Nixon vient de mettre en évidence de manière spectaculaire est l’impuissance apprise (parfois désignée sous le terme de résignation acquise) traduction française du Learned Helplessness théorisé par le psychologue comportementaliste américain Martin Seligman, un des premiers à s’intéresser aux « modifications comportementales induites par l’exposition à l’incontrôlabilité ». Dans les années 60-70, Seligman montre qu’un animal exposé à de petites décharges électriques incontrôlables s’enfonce dans l’apathie et la résignation et ne discerne plus les moments où il peut contrôler la situation. Le sujet intègre durablement que ce qui lui arrive est indépendant de son comportement, ce qui a trois conséquences

– il a du mal à comprendre qu’il peut avoir prise sur les événements (déficit cognitif)

– sa motivation baisse fortement, il n’émet plus de réponses volontaires (déficit motivationnel)

– il s’enfonce dans une forme de dépression (déficit émotionnel)

Chez l’homme, des comportements similaires sont observés, à quoi il faut ajouter : de la frustration, de l’agressivité dans certains cas, de l’abattement et une chute de l’estime de soi la plupart du temps, surtout si le sujet observe que d’autres parviennent à faire ce qui lui échappe. L’homme développe aussi des stratégies spécifiques : puisqu’il est mis en situation d’échec, il minimise son investissement personnel dans la suite de l’expérience, afin de pouvoir expliquer un nouvel échec par un manque d’efforts plus que par un manque de capacités.
Le psychologue canadien Marc Vachon estime que l’impuissance apprise repose sur trois caractéristiques :
– le sentiment que la situation est permanente, ce que trahit l’utilisation de mots comme toujours, jamais, personne, etc. « Je n’y arriverai jamais ! »
– le sentiment d’être victime, que l’on retrouve dans des phrases telles « Ce n’est pas ma faute ! Je n’y peux rien. »
– le sentiment d’envahissement : tous les secteurs de notre vie sont affectés par le changement.

Résignation et échec scolaire

On peut observer les conséquences de l’impuissance apprise dans tous les domaines de la vie quotidienne, notamment professionnel. La manipulation de Charisse Nixon, dans la vidéo, est également là pour rappeler que, menée à haut degré de subversion, l’impuissance apprise est une arme redoutable, utilisée par exemple dans les interrogatoires à Guantanamo.

Pour ce qui nous concerne, l’impuissance apprise est une manifestation psychologique que l’on retrouve fréquemment à l’école, dans les situations d’échec scolaire.

Tout enseignant aura reconnu, dans les termes décrits ci-dessus, l’élève en difficulté qui s’enfonce petit à petit dans la certitude qu’il n’est pas capable, qu’il n’y arrivera pas, qu’il a beau essayer, les résultats viennent montrer son incapacité à comprendre, à faire, à essayer, à oser. Son estime de soi est mauvaise, voir les autres réussir renforce ces sentiments. Son degré de motivation est fluctuant, dans le meilleur des cas ; il « s’évade » dès qu’il peut, se soustrait au groupe dont il se sent de facto exclu. Il peut s’enfermer dans une attitude physique de renoncement, de fatigue continuelle. Afin de rétablir l’équilibre psychologique interne, il peut développer des comportements agressifs, voire violents, envers ses pairs et / ou l’adulte. A mesure qu’il grandit, l’impuissance apprise s’enfonce profondément en lui, plonge ses racines là où elle sera bientôt hors de portée, comme inscrite définitivement dans son ADN d’écolier.

Comment lutter contre l’impuissance apprise, alors ?… On perçoit, à travers l’explication du phénomène, quels peuvent être les leviers : la confiance en soi, l’estime de soi, donc la valorisation, notamment face au groupe, la nécessité de réussir régulièrement et de ne pas être confronté continuellement à l’échec, donc la différenciation, le maintien par l’enseignant d’une attitude résolument positive et notamment la maîtrise par l’enseignant de son discours et du vocabulaire employé, le travail en petits groupes fondé sur l’étayage par les pairs…

Et, quoiqu’il arrive, une attitude bienveillante, ce qui est plus facile à dire qu’à faire en toute occasion, car l’enseignant peut aussi se sentir démuni, agacé, … impuissant.