đŸ–„ïž La relation d’une gĂ©nĂ©ration avec le travail

Mon post

Et vous quel est votre point de vue ?

💈Cette jeune femme expose son dĂ©couragement Ă  se lancer dans la vie active pour plein de raisons logiques.

J’ai commentĂ© son post fin avril. đŸ§Č Et đŸŸSurprise ! Sur Instagram ma rĂ©ponse a obtenu sans m’en apercevoir 1259 likes (au 16 juillet) en 3 mois. Ma rĂ©ponse avait Ă©tĂ© des plus spontanĂ©es.

😘😘Je m’attendais pas du tout à tant de retours et de questions comme si :

1- la façon de travailler des gĂ©nĂ©rations d’avant celle actuelle des 20- 26 ans environ leur parait complĂštement inconnue, comme cet appareil photo 📾

2- la façon dont nous avions de travailler : ils l’envient ! Comme ce tĂ©lĂ©phone Ă  touches☎

Voici ce que j’avais commentĂ© :

sou3dia.76, sohel_hal et 1259 autres personnes ont aimé votre commentaire :

« Parce que ça c’est dĂ©gradĂ© depuis les annĂ©es Thatcher. Avant ça t’avais tu bossais pour un actionnaire prioritaire que tu connaissais. Depuis tu bosses pour les actionnaires financiers. Il y a 30 ans ton boss et ton Ă©quipe Ă©taient physiquement Ă  cĂŽtĂ© de toi. Les amis c’Ă©tait ceux du travail. L ambiance Ă©tait comme familiale. Les fumeurs fumaient devant toi et on plaisantait de tout et de rien. On fĂȘtait les naissances les anniversaires. On rentrait chez soi aprĂšs 18 h et personne je dis bien personne ne cherchait Ă  te joindre pour le boulot aprĂšs cette heure lĂ . Une vraie vie pour soi. Tout comme entre 12 h 30 et 14 h. Pas de tĂ©lĂ©phone ds la poche qui sonnait. Ça attendait ton retour au bureau. Y avait un message ds ta banette pour rappeler un client d’ici demain. Au fait Ă  midi on buvait du vin, 1 Ă  2 verres. Maintenant c’est tout robotisĂ©. Interdit. Les relations n’existent plus. On ne peut plus rire de tout et de rien. C’est devenu interdit. Il faut montrer une fausse tolĂ©rance. Les collĂšgues ? C’est des fonctions. Des gens qui se connaissent mĂȘme plus. Des visios sans Ă©changes presque inhumaines. Des rĂ©unions en anglais avec tes collĂšgues de Roumanie Bulgarie Dubai que tu as jamais vus. Tu dĂ©jeunes un sandwich bobo au chai mais seul avec tes ipods. AprĂšs 18 h tu bosses chez toi avec avec tes ipods. AprĂšs 18 h tu bosses chez toi avec tes mails ton teams et tes iPhone. Tu ne prends pas de distance rĂ©elle. Le cerveau continue de bosser h24. Si tu ne rĂ©ponds pas dans l’instant tu n’es pas professionnel. Alors oui nos parents restaient 25 ans (disons au moins 10 ans) ds une memes boĂźte car les conditions de vie Ă©taient humaines ».

Patrick Krzyzosiak

Coach habilitĂ© et supervisĂ© membre de l’EMCC

https://www.instagram.com/reel/CrqikInO_Kf/?igshid=MzRlODBiNWFlZA==

Analyse transactionnelle et jeux nocifs

Quand on me sollicite sur le sujet de la cohĂ©sion d’équipe, de la collaboration, de « faire tomber l’esprit de silos », du « mieux travailler ensemble », je rĂ©pond toujours en dĂ©veloppant beaucoup le sujet des jeux psychologiques et du triangle dramatique en analyse transactionnelle

Nos vies sont remplies de jeux psychologiques. En effet, pour quel « appĂąt » n’allons nous pas ĂȘtre vrai ?

La prise d’un nouveau poste ? La gestion de carriĂšre ? Vouloir apparaĂźtre comme une personne « cool ?

et mĂȘme avec la boulangerie habituelle du coin, nous allons jouer Ă  la personne intĂ©ressĂ©e par le devenir du chat (qui ne nous intĂ©resse pas) pour espĂ©rer obtenir la derniĂšre baguette la mieux cuite


Mais nos jeux de non dits, ne sont pas conscients. MĂȘme la notion d’appĂąt n’est pas claire. On l’ignore.

Entre les non-dits (qu’on appelle les jeux psychologiques) et ce qui nous motive Ă  ne pas dire (l’appĂąt), il y a un coĂ»t : pour soi, pour son image, pour ce qu’on donne Ă  voir aux autres, et pour le collectif.

Les non-dits amĂšnent Ă  des interprĂ©tations qui si elles ne sont pas clarifiĂ©es se transformeront en tensions, puis en conflits (3 rĂŽles Ă  leur extrĂȘme : persĂ©cuteur, sauveur, victime)

Les jeux psychologiques sont la cause des troubles psychologiques, de l’usure de la confiance, et surtout de l’inefficacitĂ© au travail, et enfin, de la montĂ©e en en avant des IRP sur tous les sujets.

Etes vous prĂȘt Ă  faire Ă©voluer les choses ?

J’ai eu ces retours rĂ©cents de plusieurs Ă©quipes sur plusieurs sites logistiques oĂč j’interviens en mĂȘme temps pour accompagner des groupes de managers :

« Ces jeux crĂ©ent des sortes de « zones d’inconfort confortables » parce qu’on s’y est habituĂ© »

« Quand on ne sait pas, n’ose pas, ne veut pas vraiment exprimer ce qu’on a Ă  dire, que cela va jusqu’à cacher son malaise, le coĂ»t devient trop important (fatigue, troubles physiques, somatisation, troubles du sommeil)

« On a des retards sur chaine car entre collĂšgues on fait payer nos frustrations en accusant le service d’à cĂŽtĂ© »

« Mes colĂšres, mes tensions, ma duretĂ© avec les autres proviennent des non-dits »

« Mais on peine Ă  quitter ces jeux nocifs car on prĂ©fĂšre le diable que l’on connaĂźt Ă  celui qu’on ne connait pas ».

« Oui, mais » est tout un symbole. J’ai compris que c’est le premier signe de « je ne t’écoute pas », qui est entendu comme un « je ne compte pas pour lui puisqu’il me dit Oui, mais »

Bonne réception et à bientÎt,

Les besoins relationnels selon Richard G. Erskine, Psychotérapeute et psychanalyste italien, formateur de coachs et consultant en entreprise.

Manager est un métier, celui de valoriser « oui, mais bon, ça on sait ! »

Il y a plein de trucs et astuces pour y arriver Ă  valoriser. Dans les trousses des formateurs et coachs, il y a les strokes, les feed back, la CNV, l’écoute active, les team building, j’en passe et des meilleurs.

Mais entre ceux qui en ont marre de se restreindre et de ne pas ĂȘtre eux-mĂȘmes pour rester bienveillant, qui sont dans le doute quand l’équipe n’a pas atteint l’objectif ou qu’il faut recadrer, et ceux qui pensent que trop d’empathie distrait les Ă©quipes, et qu’il vaut mieux diriger que de distribuer des bons points, oĂč est le bon sens dans tout ça ?

C’est oĂč le juste milieu ?

IdĂ©e âœ‹ VoilĂ  une boussole en 8 points qui va vous donner un peu plus de raison et de sens Ă  « valoriser Â» et
 ça parle de vous, de moi, des autres. De tout le monde.

J’aime beaucoup l’approche des « 8 besoins relationnels Â» de Richard G. Erskine, PsychotĂ©rapeute et psychanalyste italien, formateur de coachs et consultant en entreprise.

Les 8 besoins relationnels sont les composants d’un dĂ©sir humain universel de relations. Lorsque les besoins relationnels ne sont pas satisfaits, le besoin devient plus intense : nervositĂ©. frustration, agression, colĂšre.

Les 8 principaux besoins relationnels que nous observons sont les besoins de :

1. SĂ©curitĂ© 

2. Validation, affirmation et signification au sein d’une relation

3. Acceptation par une personne stable, fiable et protectrice

4. Confirmation de l’expĂ©rience personnelle

5. La définition de soi

6. Le besoin d’avoir un impact sur l’autre

7. Le besoin que l’autre prenne l’initiative 

8. Le besoin d’exprimer l’amour 

Bien qu’il puisse exister un grand nombre de besoins relationnels, les huit besoins que nous dĂ©crivons dans cet article reprĂ©sentent ceux que nos clients dĂ©crivent le plus frĂ©quemment lorsqu’ils Ă©voquent leurs relations importantes. 

 Les besoins relationnels ne sont pas seulement des besoins d’enfance ou des besoins qui Ă©mergent selon une hiĂ©rarchie ; ils constituent les composants de la relation, prĂ©sents chaque jour de nos vies.

Lorsque ceux-ci ne sont pas satisfaits, le besoin devient plus intense, il est vĂ©cu comme une attente, un vide, une solitude Ă©nervante, ou une impulsion intense, ce qui s’accompagne souvent de nervositĂ©. L’absence continue de satisfaction des besoins relationnels peut se manifester sous la forme de la frustration, l’agression ou la colĂšre.

Le manque de satisfaction du besoin se manifeste par une perte d’Ă©nergie ou d’espoir, et apparaĂźt dans des pensĂ©es telles que «  Il n’y a personne pour moi Â» ou «  Ă  quoi bon Â». 

Voici un peu plus de détails sur les 8 besoins.

1. Sécurité :

C’est une expĂ©rience viscĂ©rale et unique que nous vivons quand nos vulnĂ©rabilitĂ©s physiques et Ă©motionnelles sont protĂ©gĂ©es.

2. Validation, affirmation et signification au sein d’une relation :

C’est le besoin que l’autre personne « valide Â» nos processus de pensĂ©e  ( on est d’accord !) d’aprĂšs notre ressenti affectif, nos Ă©motions et le sens qu’à la vie pour nous.

3. Acceptation par une personne stable, fiable et protectrice :

C’est le besoin de respecter et de se fier Ă  des parents, frĂšres et sƓurs plus ĂągĂ©s, professeurs et mentors. Le besoin relationnel d’ĂȘtre acceptĂ© par une tierce personne cohĂ©rente, sĂ©rieuse et digne de confiance est la quĂȘte de protection et de guidance, et peut se manifester sous la forme d’une idĂ©alisation de l’autre.

4. Confirmation de l’expĂ©rience personnelle :

Le besoin de recevoir une confirmation de l’expĂ©rience de notre vie, de nos valeurs, idĂ©es et pensĂ©es, action, qui se manifeste Ă  travers le dĂ©sir d’ĂȘtre en prĂ©sence de quelqu’un qui est similaire, qui va comprendre du fait qu’il/elle a eu semblable expĂ©rience, et dont l’expĂ©rience, partagĂ©e, va avoir valeur de confirmation.

5. La définition de soi :

C’est le besoin relationnel consistant Ă  connaĂźtre et Ă  exprimer le fait que nous sommes uniques et Ă  recevoir la reconnaissance et l’acceptation de cela, par l’autre. La dĂ©finition de soi est la communication de l’identitĂ© choisie par nous-mĂȘmes, au travers de l’expression de prĂ©fĂ©rences, centres d’intĂ©rĂȘts et idĂ©es, sans humiliation ni rejet.

6. Le besoin d’avoir un impact sur l’autre :

L’impact Ă©tant ici : exercer une l’influence qui affecte l’autre d’une maniĂšre dĂ©sirĂ©e. Un sentiment individuel de compĂ©tence dans la relation Ă©merge de l’action et de l’efficacitĂ© – Ă  savoir, attirer l’attention et l’intĂ©rĂȘt de l’autre, exercer une influence sur ce qui peut intĂ©resser l’autre, et amener l’autre Ă  un changement d’affect ou de comportement.

7. Le besoin que l’autre prenne l’initiative :

Pour rĂ©pondre au besoin du collaborateur, il peut s’avĂ©rer nĂ©cessaire que le manager prenne l’initiative du dialogue, qu’il quitte son siĂšge et vienne s’asseoir prĂšs de lui, ou qu’il lui tĂ©lĂ©phone entre les rendez-vous officiels qu’ils ont dans l’agenda. La volontĂ© du manager de prendre l’initiative du contact ou de prendre la responsabilitĂ© de la plus grande part du travail relationnel sera perçu par le collaborateur comme un acte inclusif, et comme une permission de prendre contact rĂ©guliĂšrement avec son manager, mĂȘme sur des sujets sensibles qu’il aurait eu tendance Ă  arranger ou momentanĂ©ment Ă  Ă©viter.

8. Le besoin d’exprimer l’amour :

L’amour est souvent exprimĂ© au travers d’une gratitude paisible, d’une reconnaissance, par l’affection qu’on donne, ou par ce qu’on fait pour l’autre personne. L’importance du besoin relationnel consiste Ă  donner de l’amour – que ce soit des enfants en direction des parents, frĂšres et sƓurs, professeurs, –  Quand l’expression de l’amour est dans une impasse, l’expression de soi-mĂȘme-en-relation se trouve contrariĂ©e. 

En management, la pratique du stroke (signe de reconnaissance factuel ou sur l’ĂȘtre),  de l’encouragement, le fait de relever les rĂ©ussites plutĂŽt que les Ă©checs, de pratiquer les feed-back plutĂŽt que les reproches vient nourrir ce 8 -Ăšme besoin et stimule le besoin numĂ©ro 5 qui est la dĂ©finition du soi. 

Comme je le dis Ă  mes clients, envoyer des signes de reconnaissance positifs aux autres nourrit l’autre, le stimule, le revigore, lui donne l’envie de se dĂ©passer, de donner plus spontanĂ©ment et d’oser dĂ©passer le statut qui vous sĂ©pare.  

Mais avant toute chose, cela vous revient au centuple : ressentir que l’autre se sent bien nous apaise et nous revigore nous-mĂȘme. En cela, ça participe Ă  la construction de la confiance en soi. 

Les besoins relationnels selon Richard G. Erskine, Psychotérapeute et psychanalyste italien, formateur de coachs et consultant en entreprise.

Les besoins relationnels sont les composants d’un dĂ©sir humain universel de relations.

Bien qu’il puisse exister un grand

nombre de besoins relationnels, les huit besoins que nous décrivons dans cet article représentent

ceux que nos clients dĂ©crivent le plus frĂ©quemment lorsqu’ils Ă©voquent leurs relations importantes.

Les besoins relationnels ne sont pas seulement des besoins d’enfance ou des besoins qui Ă©mergent

selon une hiérarchie développementale ; ils constituent les composants de la relation, présents

chaque jour de nos vies. Chacun des huit besoins relationnels est susceptible de se former ou de devenir conscient en tant qu’aspiration ou dĂ©sir.

Lorsque ceux-ci ne sont pas satisfaits, le besoin devient plusintense, il est vĂ©cu phĂ©nomĂ©nologiquement comme une attente, du vide, une solitude Ă©nervante, ou une impulsion intense, ce qui s’accompagne souvent de nervositĂ©. L’absence continue de satisfaction

des besoins relationnels peut se manifester sous la forme de la frustration, l’agression ou la colĂšre.

le manque de satisfaction du besoin se

manifeste par une perte d’Ă©nergie ou d’espoir, et apparaĂźt dans des croyances de ScĂ©nario telles que

« Il n’y a personne pour moi » ou « Ă  quoi bon Â».

Les huit principaux besoins relationnels que nous observons sont les besoins de :

1. Sécurité :

C’est une expĂ©rience viscĂ©rale et unique que nous vivons quand nos vulnĂ©rabilitĂ©s physiques et Ă©motionnelles sont protĂ©gĂ©es.

2. Validation, affirmation et signification au sein d’une relation :

C’est le besoin que l’autre personne « valide Â» nos processus de pensĂ©e ( on est d’accord !) d’aprĂšs notre ressenti affectif, nos Ă©motions et le sens qu’à la vie pour nous.

3. Acceptation par une personne stable, fiable et protectrice :

C’est le besoin de respecter et de se fier Ă  des parents, frĂšres et soeurs plus ĂągĂ©s, professeurs et mentors. Le besoin relationnel d’ĂȘtre acceptĂ© par une tierce personne cohĂ©rente, sĂ©rieuse et digne de

confiance est la quĂȘte de protection et de guidance, et peut se manifester sous la forme d’une idĂ©alisation de l’autre.

4. Confirmation de l’expĂ©rience personnelle :

C’est le besoin de recevoir confirmation de l’expĂ©rience se manifeste Ă  travers le dĂ©sir d’ĂȘtre en prĂ©sence de quelqu’un qui est similaire, qui va comprendre du fait qu’il/elle a eu semblable expĂ©rience, et dont l’expĂ©rience, partagĂ©e, va avoir valeur de confirmation.

5. La définition de soi :

C’est le besoin relationnel consistant Ă  connaĂźtre et Ă  exprimer le fait que nous sommes uniques et Ă  recevoir la reconnaissance et l’acceptation de cela, par l’autre. La dĂ©finition de soi est la

communication de l’identitĂ© choisie par nous-mĂȘmes, au travers de l’expression de prĂ©fĂ©rences, centres d’intĂ©rĂȘts et idĂ©es, sans humiliation ni rejet

6. Le besoin d’avoir un impact sur l’autre :

L’impact Ă©tant ici : exercer une l’influence qui affecte l’autre d’une maniĂšre dĂ©sirĂ©e. Un sentiment individuel de compĂ©tence dans la relation Ă©merge de l’action et de l’efficacitĂ© – Ă  savoir, attirer l’attention et l’intĂ©rĂȘt de l’autre, exercer une influence sur ce qui peut intĂ©resser l’autre, et amener l’autre Ă  un changement d’affect ou de comportement.

7. Le besoin que l’autre prenne l’initiative :

Pour rĂ©pondre au besoin du collaborateur, il peut s’avĂ©rer nĂ©cessaire que le manager prenne l’initiative du dialogue, qu’il quitte son siĂšge et vienne s’asseoir prĂšs de lui, ou qu’il lui tĂ©lĂ©phone entre les

tendez-vous officiels qu’ils ont dans l’agenda. La volontĂ© du manager de prendre l’initiative du contact ou de prendre la responsabilitĂ© de la plus grande part du travail relationnel sera perçu par le collaborateur comme un acte inclusif, et comme une permission de prendre contact rĂ©guliĂšrement avec son manager, mĂȘme sur des sujets sensibles qu’il aurait eu tendance Ă  cacher.

8. Le besoin d’exprimer l’amour :

L’amour est souvent exprimĂ© au travers d’une gratitude paisible, d’une reconnaissance, par l’affection qu’on donne, ou par ce qu’on fait pour l’autre personne. L’importance du besoin

relationnel consiste Ă  donner de l’amour – que ce soit des enfants en direction des parents, frĂšres et soeurs, professeurs, – Quand l’expression de l’amour est dans une impasse, l’expression de soi-mĂȘme-en-relation se trouve contrariĂ©e. En management, la pratique du stroke, de l’encouragement, le fait de relever les rĂ©ussites plutĂŽt que les Ă©checs, de pratiquer le feed-back plutĂŽt que le reproche vient nourrir ce 8 Ăšme besoin et stimule le besoin numĂ©ro cinq qui est la dĂ©finition du soi.

Comme je le dis Ă  mes clients, envoyer des signes de reconnaissance positifs aux autres nourrit bien sur l’autre, le stimule, le revigore, lui donne l’envie de se dĂ©passer, de donner plus spontanĂ©ment et d’oser dĂ©passer un statut qui vous sĂ©pare. Mais avant toute chose, cela vous revient au centuple : ressentir que l’autre se sent bien nous apaise et nous revigore nous-mĂȘmes. En cela, ça participe Ă  la construction de la confiance en soi.

Patrick Krzyzosiak, 15 mars 2023 Ă  Paris

Podcast Épisode 20 : L’inconfort du « leader inversĂ© ». Comment se recentrer sur soi et rester celui qui galvanise

Sur spotify et Google podcast

Rien qu’au titre de ce podcast, « leader inversĂ© » j’entends dĂ©jĂ  des interrogations. Et des rĂ©actions inconfortables et Ă©tonnĂ©es Ă  se recentrer sur soi et Ă  galvaniser : « Patrick, je suis un leader parce que je veille Ă  ĂȘtre au service de mon codir, et des missions rĂ©galiennes de mon entreprise, alors si vous me proposez de me recentrer sur moi, c’est revenir en arriĂšre et c’est risquĂ© de me replonger dans un attitude d’un manager directif qui ne pense qu’à lui et qui pour cela donne des ordres ! » 
 « A l’heure de la bienveillance en plus.. se recentrer sur soi et pas sur les autres ? ». « Quant Ă  galvaniser, c’est facile Ă  dire mais quand ils n’ont pas atteints leurs objectifs, vous faites quoi ? ». Et pourtant. Je vous l’ai dit que j’ai attendu avant de faire ce podcast. J’ai mis du temps pour me dĂ©cider Ă  faire ce podcast tellement ce sujet est devenu commun voire rĂ©pĂ©titif pour ne pas dire Ă  la mode, mais il est parfois dĂ©licat Ă  aborder avec des leaders surtout aprĂšs que certains se soient mĂȘme formĂ©s grĂące aux meilleurs Ă©coles. Je pense en France Ă  l’insead et Ă  l’Essec et d’autres qui ont une excellente qualitĂ© d’enseignement pour accroĂźtre son leadership. Ce podcast vaut ce qu’il vaut et il est basĂ© sur mon expĂ©rience. Et pourtant j’ai bien 2 sujets qui sont devenus des piliers pour qu’un leader qu’on traduit en français par « meneur » puisse continuer d’exercer plus confortablement son rĂŽle grĂące Ă  une attitude qui induit des engagements de son Ă©quipe de direction ou de votre Ă©quipe, que vous soyez CEO, CFO, ou DRH, dans tous las cas vous ĂȘtes en position de « leadership ». Depuis 2012 ou 2013 j’ai dĂ©passĂ© mon propre symptĂŽme de l’imposteur pour coacher ces profils de dirigeants car il m’a fallu dĂ©passer ma croyance qu’ils n’avaient pas besoin de mes services puisqu’ils gĂ©raient des activitĂ©s bien plus importantes que les miennes ! Je vous parle dans ce podcast de ce nĂ©cessaire recentrage sur soi pour pouvoir enfin occuper « toute votre place » de leader et ĂȘtre vu comme ce leader et je vous parle de vos challenges dans vos interactions, en Ă©voquant l’influence, ou le fait d’ĂȘtre sous influence, d’ĂȘtre en fait « dirigĂ© » par ceux que vous devriez mener, mais cela c’est un sujet trĂšs dĂ©licat. Le coaching permet d’y aller doucement et interroge certains leaders sur le fait qu’ils se sont mis dans une prĂ©disposition Ă  servir plutĂŽt que de mener. Les rĂŽles se sont donc inversĂ©s au fur et Ă  mesure des mois et des annĂ©es. Et au final, ce sont ceux qui ont ce sentiment, cette sensation, pas si Ă©vidente Ă  voir, de se faire mener par d’autres et de devoir se battre contre un agenda qui dĂ©cale sans cesse leur projet stratĂ©gique et d’organisation. Et Ă  ĂȘtre ainsi au service des autres on en devient aussi critique au lieu de rĂ©vĂ©ler aux autres leurs talents. Je vous souhaite une Ă©coute instructive et peut ĂȘtre Ă©tonnĂ©e.

Fait à Paris le 22 février 2023

Patrick Krzyzosiak

Coach habilité

Épisode 19 : « J’ai besoin de plus de toi ! », versus les reproches et les tensions

Dans ce podcast je tĂ©moigne d’une expĂ©rience dĂ©licate avec une Ă©quipe qui m’a demandĂ© un coaching d’équipe de direction sur le thĂšme de la cohĂ©sion. J’ai assistĂ© au dĂ©part surprise d’un collaborateur Ă  l’heure du dĂ©jeuner et pour une partie de l’aprĂšs midi sans qu’il en ait clairement informĂ© prĂ©alablement son DG ni moi. Et cela alors mĂȘme que la thĂ©matique de la journĂ©e Ă©tait plus de cohĂ©sion et d’inclusion entre eux avec au passage comment faire pour renforcer le sentiment d’appartenance. Nous avons vĂ©cu un moment difficile car l’attitude possible Ă  son retour pour les autres personnes de ce CODIR aurait Ă©tĂ© de ne rien lui dire en en pensant pas moins, ou de lui reprocher son attitude qui se fait au dĂ©triment de l’équipe. Je les ai accompagnĂ©s en les aidant Ă  faire un autre choix que le reproche et le rĂšglement de comptes. Un choix qui contribue Ă  plus d’équipe et pas Ă  moins d’équipe. Un choix plus sain et aussi plus inclusif : en suivant la signification des Ă©motions ressenties par les personnes prĂ©sentes, la colĂšre et la tristesse. La colĂšre et la tristesse nous parlent pour nous dire que quelque chose se passe contre notre besoin de sentir que l’on compte, d’appartenir Ă  un collectif, un groupe, une famille, une tribu. Être en colĂšre vient questionner ce sentiment de ne pas avoir de rĂŽle assez reconnu et qui met en doute notre besoin « d’appartenir et de compter dans un collectif ». La colĂšre est un cri d’inclusion – On pourrait entendre : « J’ai besoin que tu me reconnaisses ». « j’ai besoin de sentir que je compte ». On trouve des Hommes en colĂšre mĂȘme haut placĂ©s. Doutent ils de leur sentiment de compter, au sens d’ĂȘtre compris, d’appartenir, d’ĂȘtre le dirigeant ? Or, dans cette journĂ©e avec cette Ă©quipe, en quittant la journĂ©e de maniĂšre inattendue, ce manager a laissĂ© comme un sentiment d’abandon qui s’est traduit comme une perception de : « vous ne comptez pas pour moi ! ». La rĂ©action des autres Ă©tait naturelle : « Je suis donc en colĂšre et je t’en veux ! ». Cela signifiait en fait « on est en colĂšre et triste de ce qui se passe » car tu dĂ©construis l’équipe qui se forme et ça nous dĂ©motive si chacun fait ce qu’il veut sans tenir compte des autres. En fait leur colĂšre et leur tristesse c’était un appel Ă  « plus de lui ! ». « On te veut plus et pas moins, or tu es partis » ! « Tu nous as lĂąchĂ© » ! « On te veut plus » ! « Reviens ! ». Alors oui la rĂ©inclusion du manager s’est faite plus facilement. Cela a parlĂ© non seulement Ă  lui mais Ă  tous. Cela nous met face Ă  nos rĂ©actions habituelles d’exclure. Les lieux de travail sont remplis de contre exemples malheureux identiques. Par exemple : le travail n’a pas Ă©tĂ© fait en temps et en heure ? Cela me met en colĂšre. « Il ne me reconnaĂźt pas comme important puisque c’était important le travail Ă  faire que je lui ai demandĂ© et il ne l’a pas fait ». Alors on se met en colĂšre. On recadre. On fait des reproches. On met le doigt sur les manques. Et c’est le dĂ©but des surtensions. Je vous invite plutĂŽt, si la personne est compĂ©tente, Ă  Ă©couter ce qu’elle a Ă  dire sur la signification de ne pas avoir fait le travail dans les temps. Bien sĂ»r elle vous dira qu’elle a plein de travail et qu’elle est dĂ©bordĂ©e mais peut ĂȘtre que de votre cĂŽtĂ© vous ne lui avez pas montrĂ© l’importance qu’elle recherche pour faire ce travail. Lui avez vous donnĂ© du temps lorsque vous lui avez donnĂ© ce travail Ă  faire ? Avez vous imposĂ© un mode de travail sans l’écouter ? Avez vous Ă©tĂ© laxiste Ă  ne pas lui donner toutes les informations nĂ©cessaires ? Avez vous Ă©tĂ© suffisamment clair ? Avez vous mis la pression sur le rĂ©sultat sans entendre son besoin ? Que se passerait il si nous disions Ă  celui qui n’a pas fait le travail que son travail vous manque et que vous aimeriez savoir ce qui aurait permis qu’il se fasse ? Vous verrez que la rĂ©ponse habituelle « je suis dĂ©bordĂ© » ne sera plus le principal sujet. Bonne Ă©coute de ce podcast

Le 1 % du colibri

Je vous propose dans ce contexte d’actualitĂ© pas trĂšs rĂ©jouissant un exercice en coaching Ă  partir de ce que vous inspire cette photo (bien sur vous pouvez rĂ©agir et m’écrire si le coeur vous en dit). Il est simple car spontanĂ© mais il a tellement d’impacts sur nous mĂȘme. Pour ceux qui voudront tenter l’exercice, voila comment ça se passe. 

J’appelle cet exercice le « 1% » du colibri   

On peut faire le choix de se concentrer sur le 1% des qualitĂ©s d’une personne. De voir la petite part de bontĂ© qu’elle a alors qu’elle n’apparaĂźt pas au grand jour et que nous sommes en colĂšre contre elle. Pensez qu’il y a des gens trĂšs durs qui ont pu adopter un animal de compagnie, donner de l’argent Ă  une association caritative ou qui s’occupent d’un de ses parents. 

Pensez aussi Ă  l’inverse : une personne trĂšs empathique a aussi un cĂŽtĂ© moins lumineux. Notre cerveau fonctionne ainsi par auto suggestion : plus on observera l’autre dans ses aspects positifs, plus il y a des chances que ça devienne la rĂ©alitĂ©. 

Parce que le cerveau a ce fonctionnement d’auto suggestion. Les parents le savent : observer son enfant jouer en lui disant qu’il va rĂ©ussir Ă  monter le mur va lui donner l’énergie de le faire sans tomber. Lui envoyer des doutes va amplifier sa gĂȘne et il va peut ĂȘtre tomber et mĂȘme se faire mal. Le mental ne suffit pas. Ce serait trop simple. C’est la conviction que son enfant rĂ©ussira Ă  grimper le mur qui fait qu’il ressentira notre confiance. La conviction, c’est comme ressentir par avance ce que l’on est entrain de s’imaginer. S’en nourrir.

Alors sur quoi focalisons nous notre attention ? Et en sommes nous conscients ? Ce n’est pas toujours le cas. 

Oui c’est un effort Ă  fournir de trouver chez chacun ce 1 % de beau et d’y croire mais c’est aussi le cas de tout le monde ; 

On peut rĂ©ussir une belle journĂ©e ou la rater totalement en se focalisant juste sur ce qu’on n’aime pas en nous ou chez les autres ( nos proches, nos collĂšgues, les sujets d’actualitĂ©).

Quelle part allons nous nourrir chaque jour, Ă  chaque pas, avec nous, avec autrui ? Pensez au colibri qui vient apporter une goutte d’eau alors qu’un feu s’est dĂ©clarĂ©. Il contribue. Nous sommes sans doute tous des colibris, dont le travail commun Ă©teint l’incendie.  

Patrick Krzyzosiak

Coach habilité

23 10 2022

Quand tu rĂ©chauffes le cƓur des autres, alors tu te rĂ©chauffes. »

« Quand tu rĂ©chauffes le cƓur des autres, alors tu te rĂ©chauffes. » 🙏💖💗💓🧡💛

*** Angel, un juif, propriĂ©taire de la boulangerie la plus cĂ©lĂšbre d’Allemagne, disait souvent :
« Savez-vous pourquoi je suis en vie aujourd’hui ?
J’Ă©tais encore adolescent quand les nazis en Allemagne tuaient des juifs, sans pitiĂ©.
Les nazis nous ont emmenés à Auschwitz en train.
La derniĂšre nuit Ă©tait mortelle.
Nous avons Ă©tĂ© laissĂ©s pendant de nombreux jours dans des voitures sans nourriture, sans lits, ce qui veut dire sans possibilitĂ© de se rĂ©chauffer d’une façon ou d’une autre.
Il neigeait partout. Le vent froid nous gelait les joues Ă  chaque seconde.
Nous Ă©tions des centaines dans ces nuits froides et horribles.
Pas de nourriture, pas d’eau, pas de cache.
Le sang est gelé dans les veines.
À cĂŽtĂ© de moi se trouvait un juif ĂągĂ© qui Ă©tait trĂšs aimĂ© dans ma ville. Il tremblait et avait l’air terrifiĂ©. Je l’ai enveloppĂ© avec mes mains pour le rĂ©chauffer. Je l’ai serrĂ© fort dans mes bras pour lui donner un peu de chaleur. Je lui ai frottĂ© les mains, les jambes, le visage, le cou. Je l’ai suppliĂ© de rester en vie. Je lui ai remontĂ© le moral. C’est ainsi que j’ai gardĂ© cet homme au chaud toute la nuit. Moi-mĂȘme j’Ă©tais fatiguĂ© et gelĂ© mais j’ai continuĂ© Ă  masser le corps de cet homme pour le rĂ©chauffer.
Tant d’heures sont passĂ©es.
Enfin le matin est venu, le soleil a commencé à briller.
J’ai regardĂ© autour de moi pour voir d’autres personnes.
Quelle horreur, tout ce que je pouvais voir, c’Ă©taient des cadavres gelĂ©s.
Tout ce que je pouvais entendre Ă©tait le silence de la mort.
La nuit glacée a tué tout le monde.
Ils sont morts de froid.
Seules deux personnes ont survĂ©cu : le vieil homme et moi. Le vieil homme a survĂ©cu parce que je ne l’ai pas laissĂ© geler, et j’ai survĂ©cu car je l’ai rĂ©chauffĂ©.
Permettez-moi de vous dire le secret de la survie dans ce monde ? Quand tu rĂ©chauffes le cƓur des autres, alors tu te rĂ©chauffes.
« Quand vous soutenez, renforcez et encouragez les autres, alors vous recevez du soutien, du renforcement et des encouragements dans votre vie. » ***

Patrick krzyzosiak

31 12 2021

via Gabby Seeger, Danny Kada et Sylvia Siarri

Se transformer soi-mĂȘme transforme le monde
 Pourquoi ? Tous « interconnectĂ©s » .

Savez-vous que le cƓur Ă©met un plus grand champ Ă©lectromagnĂ©tique que tous les autres principaux organes du corps ?

La science aborde notre connexion au champ magnétique terrestre. Merci à Nikolaī Patrice Singier-Kurzawa.

Des scientifiques ont rĂ©cemment tentĂ© de mettre en lumiĂšre des concepts jusqu’ici difficilement abordables par la science matĂ©rialiste, comme par exemple ce que nous appelons « l’aura humaine ».

Le fait que nos corps émettent des champs électromagnétiques offre des indices sur la compréhension de notre propre biologie ainsi que sur le fait que nous soyons tous interconnectés.

Il est clairement dĂ©montrĂ© que le cƓur Ă©met un plus grand champ Ă©lectromagnĂ©tique que tous les autres principaux organes du corps.

Ces champs et informations peuvent varier en fonction de notre état physique, de nos émotions et de nos pensées.

GrĂące Ă  un systĂšme de neutrons, le cƓur envoie des signaux au cerveau au point de parvenir Ă  affecter nos expĂ©riences Ă©motionnelles.

L’information Ă©motionnelle qui est modulĂ©e et codĂ©e dans ces champs modifie la nature de ces signaux susceptibles d’impacter notre environnement.

Tous interconnectés !

Rolin McCratey, professeur et directeur de recherche Ă  l’Institut HeartMath, a dĂ©clarĂ© : « Nous sommes fondamentalement et profondĂ©ment liĂ©s les uns aux autres ainsi qu’à la planĂšte. »

Il ajouté :

« Les rĂ©sultats de certaines recherches, axĂ©es sur la cohĂ©rence cardiaque, ont dĂ©montrĂ© que nous Ă©prouvons et transmettons de l’amour et de la compassion, et que notre cƓur gĂ©nĂšre une onde Ă©lectromagnĂ©tique cohĂ©rente au sein de notre environnement local. Ce qui peut faciliter notre cohĂ©sion sociale, que ce soit Ă  la maison, au travail, en classe ou assis autour d’une table.

Lorsque plusieurs personnes se focalisent en mĂȘme temps sur un Ă©vĂ©nement grĂące Ă  leur cohĂ©rence cardiaque, alors cela construit un champ Ă©nergĂ©tique susceptible d’induire une forte influence sur l’évĂ©nement en question. »

Le Dr Deborah Rozman, prĂ©sidente de Quantum Intech, explique que « nous vivons une Ă©poque passionnante en ce qui concerne la science, et bien que peu soulignĂ© et Ă©tudiĂ© dans le courant scientifique actuel, la science semble tout de mĂȘme de plus en plus reconnaĂźtre le fait que nous faisons tous partie d’une gigantesque toile interconnectĂ©e. Elle englobe non seulement la vie sur cette planĂšte, mais aussi notre systĂšme solaire ainsi que tout ce qui se trouve au-delĂ . »

Cohérence cardiaque et pouvoir de suggestion

Le Dr Rozman a déclaré :

« Fondamentalement, les sentiments d’amour, de gratitude, d’apprĂ©ciation ainsi que d’autres Ă©motions positives produisent non seulement un effet sur notre systĂšme nerveux, mais aussi sur ceux qui nous entourent, et cela bien au-delĂ  de ce que nous aurions pu penser auparavant. »

Des études ont été menées au sujet de la méditation de masse et de la priÚre.

En ce qui concerne leurs effets sur les systÚmes physiques, on note que de nombreuses publications ont montré des résultats statistiquement significatifs.

Il existe une liste d’articles tĂ©lĂ©chargeables dont des extraits de revues Ă©voquant ce type de phĂ©nomĂšnes, principalement publiĂ©s au 21e siĂšcle.

interconnexion humaine

Un autre point qui illustre l’importance de la cohĂ©rence cardiaque est le fait que plusieurs organismes du monde entier ont menĂ© avec succĂšs des mĂ©ditations synchronisĂ©es, des priĂšres et des expĂ©riences sur la force de suggestion.

Un certain nombre d’Ă©tudes ont montrĂ© que les mĂ©ditations collectives, la priĂšre ou l’intention dirigĂ©e (ou focalisĂ©e) avaient induit des rĂ©sultats positifs avec des effets mesurables.

Par exemple, une étude a été réalisée au cours de la guerre entre Israël et le Liban dans les années 1980.

Deux professeurs de l’UniversitĂ© Harvard avaient mis en place des groupes de mĂ©ditation expĂ©rimentĂ©s Ă  JĂ©rusalem, en Yougoslavie et aux États-Unis dans le but prĂ©cis d’attirer l’attention sur cette zone de conflit Ă  divers intervalles et sur une pĂ©riode de 27 mois.

Au cours de l’Ă©tude, les niveaux de violence au Liban avaient connu une diminution entre 40 et 80% Ă  chaque fois qu’un groupe de mĂ©ditation Ă©tait en place. Le nombre moyen de personnes tuĂ©es pendant la guerre chaque jour Ă©tait passĂ© de douze Ă  trois, et les blessures liĂ©es Ă  la guerre avaient diminuĂ© de 70%.

Un autre bon exemple est l’étude menĂ©e en 1993 Ă  Washington, DC qui a montrĂ© une baisse de 25% du taux de criminalitĂ© lorsque 2.500 personnes mĂ©ditaient durant un laps de temps avec une intention prĂ©cise.

Le Dr Rozman a affirmé :

« L’Ă©nergie de chaque individu affecte l’environnement et le champ collectif. Les Ă©motions et les intentions de chaque personne gĂ©nĂšrent une Ă©nergie qui affecte ce fameux champ
 La premiĂšre Ă©tape consiste Ă  prendre individuellement conscience de nos propres Ă©nergies. Nous pouvons y parvenir en augmentant notre cohĂ©rence cardiaque et Ă©lever notre niveau vibratoire… »

interconnexion humaine

L’Initiative de cohĂ©rence globale (GCI)

Le GCI se dĂ©crit comment faisant partie d’un effort de coopĂ©ration internationale dans le but d’inciter Ă  activer le cƓur de l’humanitĂ© et Ă  faciliter un changement de conscience mondiale. L’un des axes principaux consiste Ă  inviter des individus Ă  y participer, en sollicitant leur amour, leur cohĂ©rence cardiaque et leur compassion dans le but d’influencer le champ planĂ©taire.

Le second objectif est la recherche scientifique, notamment sur la maniĂšre dont nous sommes tous Ă©nergĂ©tiquement reliĂ©s les uns aux autres ainsi qu’à la planĂšte. Puis de comprendre comment nous pouvons utiliser cette rĂ©elle interconnectivitĂ© et d’Ă©lever notre niveau vibratoire personnel afin de contribuer Ă  crĂ©er un monde meilleur.

Les hypothĂšses et enjeux pour les chercheurs et les scientifiques concernant ce processus sont les suivants :

. Les champs magnĂ©tiques de la Terre sont des supports d’informations biologiquement pertinents qui relient tous les systĂšmes vivants entre eux.

. Chaque personne est susceptible d’affecter ce domaine d’information.

. Les personnes pouvant crĂ©er des Ă©tats de cohĂ©rence cardiaques d’amour, de reconnaissance, de soins et de compassion peuvent gĂ©nĂ©rer dans leur environnement un champ Ă©lectromagnĂ©tique profitable aux autres.

. Il existe une boucle de rĂ©troaction entre les ĂȘtres humains et les systĂšmes Ă©nergĂ©tiques/magnĂ©tiques de la Terre.

. La Terre possĂšde plusieurs sources de champs magnĂ©tiques qui impactent l’ensemble de l’humanitĂ©. Deux d’entre elles sont le champ gĂ©omagnĂ©tique qui Ă©mane du noyau de la Terre ainsi que les champs qui existent entre la Terre et l’ionosphĂšre. Ces champs entourent la planĂšte entiĂšre et agissent comme des boucliers de protection qui bloquent les effets nocifs du rayonnement solaire, les rayons cosmiques, de sable…

Sans ces champs magnĂ©tiques, la glace ne pourrait par exemple pas exister sur Terre. Cela fait partie de l’Ă©cosystĂšme dynamique de notre planĂšte.

Nous ne savons pas encore comment ces pensées, émotions et sentiments affectent la planÚte entiÚre, ni comment ces informations et expériences codent les champs électromagnétiques.

Ces champs Ă©nergĂ©tiques sont connus des scientifiques, mais il existe encore de nombreuses inconnues. L’activitĂ© solaire et les bouleversements qui ont lieu sur les champs magnĂ©tiques de la Terre ont un impact sur la santĂ© et le comportement des ĂȘtres vivants. Ceci est bien Ă©tabli dans la littĂ©rature scientifique.

La littĂ©rature scientifique Ă©tablit aussi fermement que plusieurs rythmes physiologiques et comportements collectifs mondiaux ne sont pas seulement synchronisĂ©s avec l’activitĂ© solaire et gĂ©omagnĂ©tique, mais que les perturbations dans ces domaines peuvent crĂ©er des effets nĂ©fastes sur la santĂ© et le comportement humain. (Sources 1; 2)

« Lorsque l’environnement du champ magnĂ©tique de la Terre est bouleversĂ©, il peut causer des problĂšmes de sommeil, de confusion mentale, de manque d’Ă©nergie… »

connexion champ magnétique terrestre

D’autre part, lorsque les champs terrestres sont stables, les gens signalent une augmentation des sentiments positifs et plus de crĂ©ativitĂ© et d’inspiration. Ceci est probablement dĂ» Ă  un couplage entre le cerveau humain, cardiovasculaire et le systĂšme nerveux qui demeurent rĂ©ceptifs aux frĂ©quences de rĂ©sonance gĂ©omagnĂ©tique.

La Terre et l’ionosphĂšre gĂ©nĂšrent des frĂ©quences qui vont de 0,01 hertz Ă  300 hertz, dont certains restent dans la mĂȘme gamme de frĂ©quences que le cerveau, le systĂšme cardiovasculaire et le systĂšme nerveux autonome. Cela explique la maniĂšre dont les fluctuations des champs magnĂ©tiques de la Terre et du Soleil peuvent nous influencer. Ces changements peuvent aussi affecter les ondes cĂ©rĂ©brales, les rythmes cardiaques, la mĂ©moire, la performance athlĂ©tique, et la santĂ©.

Intensité solaire et champs électromagnétiques

D’inquiĂ©tants effets ont Ă©tĂ© notĂ©s les lendemains d’intensitĂ© solaire dus aux champs Ă©lectromagnĂ©tiques. Ils interfĂ©reraient nĂ©gativement sur notre propre Ă©nergie corporelle dont les effets constatĂ©s sont les suivants :

. Augmentation considérable des accidents cardio-vasculaires.

. ConsĂ©quences sur les vaisseaux sanguins en provoquant la formation de caillots de sang pouvant obturer l’artĂšre coronaire chez les personnes prĂ©disposĂ©es.

. Désordres énergétiques constatés par des acuponcteurs.

. Recrudescence des maladies mentales, dépressions et des suicides du fait de perturbations du systÚme nerveux.

. PhénomÚnes météorologiques violents.

Les champs magnĂ©tiques de la Terre agissent comme des ondes porteuses pour l’information qui influe sur tous les systĂšmes vivants ainsi que la conscience collective.

Nous ne sommes encore qu’au dĂ©but de cette longue Ă©popĂ©e.

Comment agir pour vous et pour les autres ?

Travaillez sur votre développement personnel et tout ce qui vous fait sentir bien : exercice physique, méditation, alimentation saine, passer du temps avec des amis, votre famille, ou les animaux


Mettez l’accent sur vos intentions et restez Ă  l’écoute de vos intuitions.

Il existe un certain nombre d’outils que vous pouvez utiliser, comme la mĂ©ditation qui peut vous aider Ă  ĂȘtre en paix avec vous-mĂȘme et Ă  garder le contrĂŽle de vos Ă©motions, Ă  contribuer Ă  protĂ©ger la planĂšte Ă  votre modeste niveau ainsi que les autres. Cela vous fait indĂ©niablement du bien.

Patrick Krzyzosiak

Coach individuel et d’équipes

30 12 2021

Quid de la connexion champ magnétique terrestre:

Le champs magnétique de la terre constitue une sorte de bouclier qui entoure la terre et nous protÚge des rayons cosmiques

Quid de la coherence cardiaque :

La cohĂ©rence cardiaque permet d’apprendre Ă  contrĂŽler sa respiration afin de rĂ©guler son stress et son anxiĂ©tĂ©.